Titre : | Etude de Cryptosporidium spp. chez le macaque de barbarie (Macaca sylvanus) dans les régions : Chiffa, Boudouaou, le Jardin d’Essai d’El Hamma et le parc zoologique de Ben aknoun |
Auteurs : | Ahlem Belmadani, Auteur ; Lyna Boudemia, Auteur ; Rafik Belabbas, Directeur de thèse |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Bab Ezzouar : Université des Sciences et de la Technologie Houari-Boumediène, 2024 |
Format : | 35 f / ill / 27 CM |
Note générale : | Mémoire de Master: Sciences de la Nature et la Vie: Alger, Université des Sciences et de la Technologie Houari Boumedienne: Facultés des Sciences Biologiques: 2024 |
Langues: | Français |
Index. décimale : | 636.089 6959 (Médecine vétérinaire : Zoonoses ) |
Mots-clés: | Algeria ; Cryptosporidium ; Macaque ; Monkey ; Parasite ; Zoonosis |
Résumé : |
Cette étude a pour objectif de déterminer, en premier lieu, la prévalence de Cryptosporidium
spp. chez le singe macaque de barbarie, au niveau de deux parcs zoologiques (Benaknoun et EL Hamma) et deux sites touristiques (Boukerdane et Chiffa). En second lieu, nous avons étudié l e s facteurs de risques liés à ce parasite (région, sexe, âge, saison et aspect des selles). Au total, nous avons analysé 155 prélèvements de matières fécales. Ces prélèvements ont été analysés par la technique de concentration décrite par Ritchie et simplifiée par Alun et Ridley suivie de la coloration de Ziehl-Neelsen modifiée par Henriksen et Pohlenz. La prévalence globale de Cryptosporidium spp. chez le singe macaque de barbarie est de 24,51% (38/155). L’analyse statique n’a montré aucune différence significative entre les prévalences de Cryptosporidium spp. des 4 sites de prélèvements (p = 0,629). La classe des singes bébé a montré une prévalence de Cryptosporidium spp. significativement plus élevée (62,5%) comparée à celles enregistrées pour les singes jeunes ou adultes (respectivement 21% et 25%, p = 0,05). La prévalence de Cryptosporidium spp. est respectivement 31% et 21% chez les mâles et les femelles. L’analyse statistique ne révèle aucune différence significative entre les deux sexes au seuil de 5%. L’analyse statistique ne montre aucune différence significative entre les deux saisons étudiées (26% vs 24%, p>0,05). La survenue des diarrhées chez les singes n’a pas influencé significativement la prévalence de Cryptosporidium spp. (p > 0,05). En conclusion, les singes macaques sont porteurs de Cryptosporidium spp. ce qui constitue un risque zoonotique majeur pour les humains en contact avec ces derniers. |
Note de contenu : | Bibliogr. |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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E4.23104.00/1 | E4.23104.00 | Thèses | B. Magasin des Thèses et PFE | Thèses étrangères | Consultation sur place Exclu du prêt |