Titre : | Application de schémas thérapeutiques sur des vaches laitières en anoestrus post-partum dans la ferme ITELV de Baba Ali |
Auteurs : | Amel Laghouati, Auteur ; Maya Laras, Auteur ; Samir Souames, Directeur de thèse |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Alger : École Nationale Supérieure Vétérinaire, 2009 |
Format : | 66 f. / ill. / 30 cm |
Note générale : | Projet de fin d'études : Médecine vétérinaire : Alger, École Nationale Supérieure Vétérinaire : 2009. |
Langues: | Français |
Index. décimale : | 636.089 817 209 65 (Élevage - Sujets particuliers) |
Mots-clés: | Anoestrus ; Oestrus ; Vache laitière ; Synchronisation ; BCS ; Profil biochimique |
Résumé : |
L’anoestrus post partum doit être maitrisé pour atteindre l’objectif de production d’un veau par vache et par an et une production laitière à longueur d’année.Au sein de l’ITELV de Baba Ali, une étude a été menée sur un effectif de 20 vaches laitières supposées être en anoestrus post partum, ces femelles sont réparties en 2 lots (lot A : femelles en anoestrus vrai par inactivité ovarienne, le lot B : femelles en sub-oestrus).Deux schémas thérapeutiques ont été réalisés et comparés (protocole PRID pour le lot A et protocole Ovsynch pour le lot B). A l’issue de cette expérimentation, l’étude rétrospective montre que les intervalles naissance première mise à la reproduction ; l’âge du premier vêlage ; l’intervalle vêlage vêlage ; ainsi que l’intervalle dernier vêlage premier insémination dépassent les normes. Ils sont respectivement de : 700 jours ; 970 jours ; 600 jours ; 175 jours.Il ressort également de cette étude que le taux d’oestrus est satisfaisant surtout pour le lot A (90%), néanmoins un taux de fertilité faible (33,33%) a été enregistré pour les deux lots.Les notes d’état corporel ainsi que le profil biochimique (glycémie, cholestérolémie, triglycérides) révèlent que les femelles traitées étaient en bilan énergétique positif donc aucune influence négative sur la fertilité obtenue.Le facteur stress(essentiellement les travaux entrepris par l’institut pendant l’expérimentation) et la fréquence importante des différentes pathologies (65%) représentent les principales causes de la mauvaise fertilité.
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Note de contenu : | Bibliogr. p. 49-56 ; Annexes p. 57-66 |
Exemplaires (2)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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P4.22065.00/1 | P4.22065.00 | PFE | B. Magasin des Thèses et PFE | Memoire de fin d'études | Consultation sur place Exclu du prêt |
P4.22065.00/2 | P4.22065.00 | PFE | B. Magasin des Thèses et PFE | Memoire de fin d'études | Document en bon état Disponible |